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NouNouille

Summary:

Alors, je vais pas vraiment faire un résumer d'une histoire dont j'ai déjà fait un résumer, donc juste, c'est l'histoire d'un mec sous l'empire qui rêve de devenir Général...mais ça part en sucette
non-French speakers must TRANSLATE

Notes:

Yes, it's a new version of a story that I've already started to write, and yes, if you're looking for stories about Napoleon, it's still not here, unless you're really curious.

Chapter 1: Le Début d'une Histoire

Chapter Text

1792, Paris sent la fumée et la crasse, la pauvreté et la honte, mais également la révolution. Après des siècles voilà que la Capitale du Royaume de France ce révolte contre son Roi, assez des impôts, assez de l’écrasement, assez d’être mis au côté au profits des nobles. On a dit que a chaque impôts le peuple dit « ça ira », a force de dire ça ira ils vont le chanter et ils l’ont chanté, ah ça ira. On plein les nobles, on ne se demande alors pas pourquoi les paysans sales se rebelles contre eux, on s’intéresse jamais a eu, c’est eux le méchants de l’histoire voyons on le sait très bien. C’est bien égoïste tout ça je vous le dit. On rêve de liberté, d’égalité, mais es que on peut vraiment l’avoir cette égalité, cette paix tant désiré ? Jamais, jamais, car on n’est pas assez intelligent pour la faire perdurer, ça finit toujours par dérapé, alors on fait des guerres et là je défie les enfants futurs de faire la paix ! Notre futur est surement déjà condamné. Cette Révolution va pas tarder à s’étendre aux maisons de campagnes, prendre toute la France, en dépit de morts. On chasse les nobles pour leurs coupé la têtes a la guillotine, elle qui est devenu le symbole, l’espoir de la Révolution.

Mais que ce passe-t-il ? dans une foule en colère, une jeune fille, belle, pâle, blonde, trop innocente pour ce monde, bousculé par un autre jeune, bronzé, les cheveux brun lui tombant au épaules, l’air enfantin et stupide. Mais elle ? qui elle est ? Et lui ? Mais qui est tu ? Peut-être notre espoir, la lumière, la liberté.

Alors je vais vous le dire, elle s’appelle Marie, le nom de la Vierge, et lui il s’appelle Aimé. Deux jeunes enfants de 17 ans perdu dans cette ville qui s’amasse de cendre, l’une est orpheline, l’autre à quitter sa ville natale, la campagne. Il avait emporté avec lui son chien, enfin un petit chiot, un réconfort dans ces temps tumultueux. Sans rien n’y personne, ces deux jeunes gens allait alors s’entre aider, cohabité. Il était promis a quelque chose de grand et elle allait être son appuie.

 

« Aimé, c’est toi la liberté ». Aimé il veut rejoindre l’armée républicaine, parce que c’est un républicain, il veut la fin de la Monarchie, la chute du Roi et de sa Reine. Il est convaincu d’une chose, de la liberté. Il voit grand, il a beaucoup d’espoir pour la France, il n’est pas ceux qui cherche que la Gloire, il en a rien a faire de la Gloire, selon lui la Gloire c’est pour les lâches. Aimé c’est un homme comme d’autres, il ne cherche pas a se faire plus remarqué pour avoir plus que les autres, il veut juste une chose particulière, être Général, c’est son rêve depuis que il a 7 ans. Il compte bien y arrivé et rien ne lui en empêche.

Marie est innocente, on dirait un ange tombé du ciel, elle ne mérite pas de vivre a cette époque d’incertitude, elle ne mérite pas de vivre seule dans les rue sombre de Paris. Mais comparé a Aimé, elle ne vise pas grand, mais elle le soutiens, elle va être là pour lui. C’est peut-être ça sa force, sans elle, Aimé n’y arrivera pas.

 

Une après-midi, le soleil taper la Capitale, Aimé était sortie en ville, découvrir Paris, d’après tous il y était arrivé que depuis quelque jours. Il trouva un jardin, si beau, rien a voir avec le reste de la ville, on aurait dit le paradis. C’est dans ce parc que il rencontra 2 personne qui de même allait changé sa vie, être deux soutiens de plus. L’un est un apprenti banquier, enfin un apprenti viré, a cause de c’est temps. Les yeux bleu, les cheveux noir, long et bouclé qui lui tombe sur les épaules, c’est un jeune homme de 20 ans, il s’appelle Victor, il est un peu hautain, mais pas méchant au contraire. L’autre, c’est une jeune femme, 22 ans, indépendante, elle peint, elle peint bien d’ailleurs, notre Aimé admire souvent ce que elle fait, c’est si beau que on dirait que c’est réel. Grande brune au regard noir et au lèvres rouge, elle c’est Victoire.

Voulant absolument crée un groupe, Aimé c’est débrouiller pour réunir ses 3 nouvelles connaissance de Paris en un endroit, une petite colline avec un seul arbre dessus, un petit arbre qui surplombe la ville. Il parle de son rêve, souvent, il est admirable, « Si on sauve pas la France, qui le fera ? » Ils le regarder perplexe par sa déclaration, « Toi, Aimé ». A ses 18 ans, Aimé est décidé, il va rejoindre l’armée. Il écrit a sa famille, ses rencontres a Paris, ses espoirs ici, parce que Aimé ne renonce a rien, une fois que il a une idée il va la faire.

Le 20 avril 1793, il a eu ses 18 ans, et comme promis, il rejoint l’armée, on lui demanda son nom, sa date de naissance et lieu de naissance, sa taille même, « Aimé Salesse, je suis né le 20 avril 1775 a Limoges, je fais 1m67 », ne riez pas de sa taille, il est enfaite de taille moyenne pour son temps. Le voilà enfin soldat de l’armée Républicaine. Alors il quitta Paris, direction les Camps, il dit au revoir a ses amis, il allait les revoir bientôt et quand il va les revoir il aura plein de chose a leur dire, il ce promis également de leur écrire le plus possible.

 

Dans les camps militaires, il était seul, mais c’est pas grave, il était assis sur son tronc, a réfléchir, comment on fait pour se faire remarquer a l’armée. C’est là que il remarqué que deux types l’observer au loin, il n’y prêta pas plus importance et au contraire commença à écrire a ses parents, mais quand il releva les yeux, les deux types c’était rapprocher. Aimé plissa les yeux, qu’est-ce qu’ils lui voulait ? Il a rien fait à part être assis sur un tronc et écrire a ses parents, ça l’énerva un peu. Mais voilà que maintenant, ils étaient si proche que ils lui adressa la parole, c’est le premier qui parla, grand, brun, moustache, enfin un mec ordinaire de l’armée.

-Toi là, tu t’appelles comment ?

-Moi ?

-Oui toi

-Je m’appelle Aimé

-Aimé ? ça te va pas trop, on va t’appeler…NouNouille

-Quoi ?!

Oui, Aimé la mal pris, quel surnom ridicule, il est hors de question que on l’appelle comme ça, mais le type était sérieux, il ne rigoler pas du tout, le deuxième, plus petit, châtain, moustache de même approuva la déclaration du premier. Aimé était un peu pris de court, mais il finit par sourire, finalement, NouNouille ça lui plaisait bien. Les deux types on finit par également se présenter, le premier s’appelle Nicolas, c’est un type calme, poser, qui est pas fan des ennuie, il est pas du genre a vouloir blessé les gens. Le deuxième, a dit que il s’appeler Pritave, un drôle de nom pensa Aimé, c’est quelqu’un qui bien au contraire de Nicolas, est hyperactif, il arrive pas a resté assis plus de une minute, il doit toujours bouger et ce retrouve bien souvent dans des situation…délicate.

Maintenant, Aimé, enfin NouNouille a trouvé ses frères d’armes, c’est frères tout court même, ils était inséparable, on les connaissait bien dans le Régiment même. Notre trio a par la suite était rejoint par deux autres soldats que nous allons appelé par leur noms de famille, Mallet, un aigri, véritable aigri, pour lui l’homme ne sert a rien et Lamy, un « flemmard » dormir et sa conviction. Mais malgré leur grande différence, ils reste toujours ensemble, on dit alors, Nicolas le grand frère, Pritave l’hyperactif, Mallet l’aigri, Lamy le flemmard et NouNouille. C’est NouNouille qui les gardes unit. NouNouille est particulièrement proche de Nicolas, comme on la dit, c’est un peu le grand frère du groupe, c’est le premier a avoir parler a Aimé et surtout c’est lui qui la appelé NouNouille, mais c’est surtout que Nicolas soutiens énormément Aimé. C’est l’un de ses plus grands soutiens, Aimé ne voit pas comment il peut être NouNouille sans Nicolas et les autres, car c’est eux qui font vivre NouNouille.

Chapter 2: NouNouille l'Insolent

Chapter Text

Tant de chose c’est passé en seulement 2 ans, nous sommes en 1795, notre cher NouNouille lit un journal que il a réussi a se procuré, les nouvelles sont bonnes et mauvaise. L’armée de la République a vécu de nombreuse défaite, mais cependant personne ne perd vraiment espoir, puis le règne de la Terreur est finit, Robespierre a était décapité, mais avec et avant lui sont tombé bien d’autres, Danton, Marat, Desmoulins et le jeune Saint-Just, que de grandes figure de la Révolution. Mais il n’y a pas que de mauvaise nouvelles, il y en a aussi des bonnes, Louis XVI a était décapité, Marie Antoinette aussi, et a ceux qui la pleure, alors pleurer aussi tous ceux qui sont mort des ses excès et ceux de la cour, car le peuple n’a rien fait pour mérité ça, ils n’ont pas demandé a avoir la Reine crée un village et a « imiter » la fermière. Ceux n’est pas eux que ils faut pleurer, ouvrer les yeux et regardé qui il y a derrière eux, ceux qui regarde dans le côté. Mais la Révolution a aussi des mauvaise manière, les Vendéens par exemple, leur seuls crime était de ne pas être en accord avec la République, le Dauphin, le jeune Louis Charles, sont seul crime était d’être le fils de Louis XVI, il n’était qu’un enfant, de 10 ans. Toute la famille royale n’a pas connu le même sort que le Roi et la Reine et de leur Dauphin, leur fille, Marie-Thérèse est là seule des enfants du couple a avoir « survécu », envoyé dans sa famille en Autriche, jusqu’à combien de temps elle y restera ? Puis les frères de Louis XVI, Louis et Charles eux on pris la fuite comme d’autre nobles, la même question se pose…quand vont-ils revenir ?

Aimé était trop concentré sur ce que il lisait que il ne regardé pas où il mettait les pieds, c’est un maladroit, alors bien évidemment que il percuta quelqu’un, quel fut son malheur quand il se rendit compte que en plus la personne que il venait de percuté était un Général…il était grand, très grand, c’était la personne la plus grande que NouNouille a jamais vue, il dirait bien 1m80 ! brun, mais la chose la plus surprenante était ses yeux, bleu, d’un bleu si claire que on aurait dit du blanc. NouNouille ce fit réprimé par ce Général surprenant, mais on connait notre ami, c’est un insolent, alors bien sur que il ne se laissa pas faire, il lui a répondu, en échange il a reçut une gifle.

NouNouille est retourné voir ses amis, un peu vexer, son égo a pris un sacré coup après ça. Il c’est plein, « quel Général vilain ! Il ne mérite pas son titre ! Il ne mérite pas d’être ici ! » Ses amis ont ri, car un NouNouille en colère, la vérité c’est que c’est plutôt drôle a voir, il faut le voir pour le confirmé. En colère car il c’est fait gifler par un Général, ça NouNouille il allait le raconter dans ses lettres pour sa famille et ses amis, bien évidemment en disant que lui il a rien fait pour mérité ça.

Ce soir-là, il a écrit justement a sa famille, il leur a raconter cet évènement, mais également son quotidiens, ce que il compté faire plus tard, comment il comptait s’y prendre, mais également que il a entendu des rumeurs, en 1793 il y a eu le Siège de Toulon par quelqu’un dont il a oublié le nom, maintenant il a entendu parler d’une campagne en Italie. La vérité est que NouNouille se demande pourquoi faire ? Pourquoi allait en Italie ? On lui a dit que c’était pour repousser l’influence Autrichienne, mais NouNouille a peur, il a peur que cette Campagne soit le début de quelque chose de bien plus long. Mais peut-être que, peut-être que aussi la guerre sera finit ? peut-être que la France sera enfin libre ? NouNouille ne sait pas trop quoi en pensait, il faut quelqu’un d’assez fort, d’assez stratégique pour ça, quelqu’un qui sera le cauchemar de l’Europe.

 

Ce matin, il faisait beau, les oiseaux chanter, le soleil était doux, aucun nuage dans le ciel et Pritave arrive avec une question, enfin pas vraiment une question, il a entendu que dans l’armée de la République, il y a un ancien noble, un vrai noble ! Un type qui est né dans un château ! Pourquoi un noble refuse volontairement tous ses privilège, c’est ce que c’est demandé NouNouille, pendant que Pritave et Mallet était plutôt entrain de débattre sur si il fallait le laissé ou le guillotiné.

-Pourquoi il y aurait un noble ici ? c’est ce que il demanda

-je sais pas…peut-être que ils sont pas tous arrogant, lui répondit Nicolas

-Enfin ça reste un noble ! il faut le décapité aussi ! rétorqua Pritave

-Je pense que Nicolas a raison dit NouNouille

Pritave c’est mit à bouder en voyant que personne était de son avis, sacré Pritave. Mais ça restera une question qui hantera NouNouille pour toujours, pourquoi un Noble a volontairement abandonné ses biens et rejoint la République ? Pourquoi ? C’est stupide, mais également…quelque chose de bien, NouNouille voyait ça comme un acte de bonté, un noble qui rejoint la cause du peuple, c’est quelqu’un de bien.

« Tu te pose beaucoup de question, Aimé »

Chapter 3: Bonaparte et l'Italie

Chapter Text

1796, sur les routes du sud, l’armée Républicaine se dirige vers l’Italie du nord, battre les Autrichiens en priorité, enfin y’a aussi d’autre petit Royaumes comme le Royaume de Sardaigne, on ne va pas s’attarder sur les autres participant de cette campagne, souvenez-vous juste de l’Autriche et la France Républicaine. Dirigé par un homme que on va voir plus tard, croyez moi vous le connaissez, il a pas fini de faire parlait de lui celui-là. Ce qui est sûr c’est que les soldats de cette campagne ne seront pas prêt de l’oublier, et la campagne et ce chef. NouNouille aussi sera pas prêt de l’oubliait, il écrivait tous les jours, racontant l’avancé de leur longue marche vers l’inconnu, à part ceux qui était originaire de cette région, personne ne connait le sud de la France est le Nord de l’Italie. C’est décrit comme beau, chaud, l’odeur de la lavandes et des oliviers, le souffle de la Méditerranée et l’accent provençale prononcer. NouNouille n’est pas déranger d’ailleurs par l’accent de sud, il est lui-même originaire d’une région occitane, c’est un accent familier d’ailleurs, malgré quelques différence. On est en mars et la chaleur commence à se faire sentir également, encore une fois on pouvait voir ceux qui était habitué à ce climat et ceux qui ne l’était pas.

Les amis de NouNouille était pas de cette région, ils étaient tous de Paris, a part Mallet qui est de Rouen, seulement NouNouille originaire du centre de la France, de la province du Limousin, connaissait un peu ce climat bien différent que celui de Paris. Comme bon français qui se respecte ça râler beaucoup dans les rangs de l’armée, fallait les motivé ses faignants, NouNouille fut le premier à essayer d’un peu rendre le morale, retenez ça, NouNouille et le moral, on en reparlera. Mais il y  a un homme, l’homme, le chef que j’ai mentionné plus hauts, c’est lui dont on va parler.

Alors que la marche sembler être sans fin, l’armée s’arrêta enfin au portes de l’Italie du nord, enfin pour le plus grand bonheur des soldats épuisé. NouNouille aider a installé le camp, mais comme d’habitude son regarde vagabonder ailleurs, quand il la vue, lui. Il se retourna vers ses amis et pointa l’homme du doigt.

-C’est qui lui ?

-Qui ? demanda Nicolas

-Le type là-bas, avec son regarde absent, c’est qui ?

 -Comment ça c’est qui ? tu n’as donc jamais entendu parler de lui !? Nicolas et les autres était un peu surpris par la déclaration de NouNouille

-Non, il est si important que ça ?

-Mais voyons NouNouille, c’est le Général Bonaparte ! Dit Mallet, excéder par tous comme d’habitude

-Bonaparte ? jamais entendu parler de lui

-Tu exagère ? C’est lui qui a pris Toulon au Anglais ! cria Pritave (oui cria, c’est Pritave)

-ah ! alors c’est lui !? Il n’est pas si impressionnant que ce que j’imaginé…

Et pourtant, ce même Bonaparte aller devenir le cauchemar de l’Europe, des milliers d’homme vont mourir pour lui, NouNouille sera le premier a le soutenir. Mais pour notre jeune NouNouille de presque 21 ans désormais, le Général Bonaparte n’est pas si grand que comme on l’avait tant dit, il se souvient encore du Général qui la gifler l’an dernier, lui il hante encore l’esprit de notre jeune Aimé, sur le coup NouNouille a était impressionné par celui-là, mais il ne désire pas de le revoir et par chance il ne la pas revue depuis cette évènement.

Mais ce Bonaparte intrigué quand même notre jeune NouNouille, il le regarder des fois, longuement, ce demandant si il était vraiment si impressionnant que ça, Bonaparte n’était pas seul, il était entouré de d’autres dont leurs noms reviendra vite, un qui marqua NouNouille était un grand type avec une chevelure, atypique, de long cheveux noir bouclé et soyeux, mais également avec son air de « monsieur parfait », ce qui faisait un peu rire NouNouille des fois. De même le nom de cette personne reviendra vite vous marquez. Ce n’est pas quelqu’un qui sera oublié dans l’histoire, mais comme certains, il aura sa propre fin tragique.

Cela faisait maintenant plusieurs jours que NouNouille observé le Bonaparte, il veut aller lui parler, savoir qui il est, le connaître. Ce n’est pas que NouNouille est timide, c’est que il ne sait pas comment lui adressé la parole, lui il a l’air si important, et NouNouille ne l’est pas. Mais ce n’est pas grave, car ce jours là il c’était décidé, il se leva parmi ses amis qui le regarder curieux de ce qu’il allait faire.

-Tu fait quoi ? lui demanda Nicolas

-Je me suis décider, je vais voir le Bonaparte

-pourquoi faire ?

-Parce que je l’ai décidé ainsi

NouNouille est déterminé, il n’a pas l’habitude de faire marche arrière devant un objectif, il quitta ses amis et marcha a travers les tentes, sa direction, le Bonaparte comme il l’appelle, il était là isolé, assis, surement entrain de réfléchir comment accomplir encore une fois un coup de maître sur les autrichiens. NouNouille s’avança dos a lui, au sommet de sa détermination il s’arrêta a quelque centimètre a peine du Général.

-Excusez moi, dit-il sur un ton légèrement timide quand même, le Bonaparte se retourna et le regarda longtemps sans réel expression sur le visage avant de enfin lui adressait la parole

-Vous êtes qui ?

-Un soldat, aussi simple que ça, ça ne se voit pas ?  

-…Vous vous appelez comment ?

-Je m’appelle Aimé Salesse, mais mes amis m’appelle NouNouille, c’est stupide je sais mais moi j’aime bien, je trouve que ça me va bien, vous s’avez NouNouille c’est comme une autre personne. Il aurait put continué son long monologue comme ça si le Bonaparte ne c’était pas retourné

-Je vois, dit le Bonaparte en lui tournant le dos, NouNouille se tait, mais n’a pas abandonné son idée

-On dit que apparemment vous êtes un génie…c’est vrai ?

-Peut-être, je suis ravie d’apprendre que on pense bien de moi, dit-il, toujours faisant dos à NouNouille.

-Vous savez, quand on parle a quelqu’un le minimum c’est de le regarder, le Bonaparte ce retourna cette fois ci.

-C’est a moi que vous dite ça ?

-Oui, a vous, vous êtes peut-être Général, cependant je crois pas que être Général c’est manquer de respect au autres, même si on est d’un rang plus bas que le vôtre.

-…Vous avez un sacré caractère…Aimé ?

-Oui, est vous aussi, mais peut-être un  peu plus de respect et vous serez fréquentable. Le Bonaparte resta muet, NouNouille continua, Au fait quel est votre nom ?

-Bonaparte.

-Bonaparte comment ? Vous avez pas de prénom ?

-…Napoléon Bonaparte

-C’est…spécial, vous venez d’où monsieur Napoléon ?

-De Corse…et vous ?

-Je suis du Limousin, de Limoges, vous connaissez Limoges ?

-De nom, j’y suis jamais aller

-C’est un très joli bourg vous savez, il y fait bon vivre, et la campagne est douce, pas comme ici où il fait chaud à en mourir.

-Qu’est-ce que vous voulez faire dans votre vie Aimé ?

NouNouille a était pris de court par cette question, que voulait t-il faire plus tard ? Devenir Général comme lui.

-Oh monsieur Napoléon, je veux devenir Général, comme vous !

-Alors…bon courage, je pense que, vous pouvez peut-être y arrivé, maintenant si cela nous vous embête pas…j’ai dû travaille a terminé.

NouNouille sourit, satisfait de lui-même, il acquiesça, ne voulant pas trop plus le déranger, alors il retourna au près de ses amis. Oui il était fier, fier d’être « complimenter » par le Bonaparte, il croit en lui ! Bonaparte pense que NouNouille peut devenir Général. De retour au près de ses amis, il leur raconta son interaction avec le Bonaparte, il était si heureux, vous avez jamais vue un homme si heureux que lui a ce moment-là, moi aussi je crois en NouNouille, moi aussi je pense que il peut y arrivé, car tous et de son côté. Pas la Gloire, mais la Liberté.

Chapter 4: les drôles d'hommes

Chapter Text

La France, depuis le début de la Révolution a longtemps enchaîné les défaites, c’était presque humiliant pour l’armée, fallait ce mettre a la place des soldats un peu, une impression amer de tous rater…et de perdre leur seul chance de vivre librement. Enfin, depuis quelque années, l’armée c’était améliorer a vue d’œil, la France était bien décidé a rester telle qu’elle est et aucune monarchie viendra détruire ce que on a commencer a construire. L’Italie, est l’exemple le plus flagrant, des victoires qui s’enchaînes pour la France, tous ça sous le génie d’un seul homme, le Bonaparte, mais comment il fait ? C’est ce que demande NouNouille, pendant que les autres se contente juste de l’admirer et d’approuver ce que il fait. Il y a une certaine envie de prendre exemple sur lui, mais également de vouloir faire son propre chemin, marquer d’une autres manière. NouNouille était pensif, pensif et admiratif quand même. Il était rester silencieux pendant beaucoup de jours, à réfléchir a tous ça, ses amis l’ont bien vue que il était différent depuis maintenant quelque semaines. Ils l’ont questionner sur ce qui l’embêter.

-NouNouille ? t’a l’air différent. Demanda Nicolas

-Je suis juste pensif…

-Sur quoi ?! demanda Pritave

-Je sais pas trop, sur le Bonaparte, je me demande pourquoi il sait tous faire

-Ow…tu te pose des questions trop difficile mon p’tit NouNouille, détend toi un peu.

-C’est toi qui devrais te détendre, Pritave

-Je me détend moi !

NouNouille rigola un peu, il voulait bien se détendre aussi, mais comment ce détendre quand c’est la guerre ? Que chaque jours y’a une bataille, il n’y a pas le temps de se détendre. Alors NouNouille voulait bien essayer de se détendre, il se leva, dit a ses amis que il allait se posait un peu a l’écart, se détendre comme la dit Pritave et peut être trouver des réponses a ses questions. Alors il s’installa contre un arbre, a l’extérieur du camp, pas très loin non plus, il entendait au loin les rires des soldats qui se réjouissait des nombreuse victoires, mais également le bruit de la nature, le chant des oiseaux…NouNouille regarda le ciel, les oiseaux sont libres, il veut que son pays soit libre aussi, si seulement…Ses penser fut cependant distraite par des bruits de pas ce rapprochant de lui, il cru au début que c’était ses amis qui le rejoint, mais en se retournant pour voir, il a vue deux hommes, pour lui inconnu, ils avaient l’air important a en juger par leur uniformes. NouNouille soupira, l’un était le grand type, le grand que j’avais mentionné plus tôt, avec sa glorieuse chevelure et ses airs de Roi avant l’heure. Et l’autre type, bah ! Je ne serais comment vous le décrire, assez grand, tête de râpasse. Malheureusement pour NouNouille qui voulait être un peu seul, ils l’ont vue, puis ils ont pas l’air d’être le genre de types qui passe et te laisse tranquille, non.

-Eh bah alors ! qu’est-ce que tu fais là mon p’tit ?! dit le premier, celui a la chevelure magique

-Rien…je me détend

-Tu te détend !? En c’est temps !? dit le deuxième

-Euh, oui, conseille d’un ami

-Quel ami !? redit le premier

-Cela ne vous regardes pas

-Eh bah ça alors…

-Allons Murat, viens, ça ne nous regardes pas il a dit

-Très bien, mais d’abord ! Quelle est ton nom ?

-…Aimé

-Aimé comment !?

-Salesse, Aimé Salesse

-Très bien monsieur Salesse, moi c’est Général Murat et hum…lui là c’est Général Augereau

-Aller Murat vient maintenant, on le laisse tranquille, dit alors Augereau

Les deux s’éloigner, laissant encore une fois NouNouille seul, il devrait pensé a l’écrire ça dans ses lettres. Quels étranges personnes c’est deux-là, pas un pour rattraper l’autre se dit NouNouille, mais, il faut l’assumer que ils sont drôle. Si c’est deux là sont devenu Général, c’est que ils sont pas si bêtes alors, mais que si même avec ce caractères ils sont déjà si hauts…NouNouille ne savait pas quoi en pensait, il se sentait débordé, si petit comparé a tous ces hommes, si importants et si fort déjà, ils ont pas l’air si vieux, NouNouille leur donne entre la vingtaine et quarantaine. Il ne doit pas se laisser intimider, non jamais, il ne doit pas se comparer à eux, non il doit faire son propre chemin, son trajet, marquer les soldats a sa manières ! Il va le faire, il en est certains que bientôt lui aussi portera cette uniforme si prestigieux, et ça sera bientôt, mais si il le veut, il doit commencer a le chercher des maintenant.

« Aimé, la liberté sera ta première et dernière valeur »  

Chapter 5: La parole de NouNouille

Chapter Text

On est le 13 novembre 1796, près du petit village d’Arcole, la rumeur raconte que c’est la que va se dérouler la prochaine bataille, on a peur, car il ne faut pas croire, c’est pas parce que pour le moment l’armée française domine que on a pas peur avant une bataille, même si on gagne on ne sait pas si on sera là pour la fêter la victoire. NouNouille en était conscient, il voyait les soldats autour de lui loin d’être rassurés, le Bonaparte va surement trouvé un moyen de les mettre en confiance, lui qui sait tous si bien faire. NouNouille encore une fois était ailleurs, cette fois-ci il s’appliquer pour écrire une lettre que il va envoyé a Paris, a ses amis qui lui manque tellement. Il écrivait tout ce qui lui était arrivé récemment, ainsi que les nouvelles de l’avancement de l’armée française sur l’Autriche. Bien évidemment que il écrit aussi ses interaction que il a eu, que ça soit avec le Bonaparte où les deux autres dont leur noms avait déjà échapper a NouNouille. Une fois finit, il a la rangea précieusement dans ses affaires, attendant le moment venu de pouvoir l’envoyée.

Autour de lui, que de la peur, des murmures, des « et si on se fait tuer ? », NouNouille n’aimait pas voir autant de peur dans les yeux de ses camarades. Il comprend leurs peur, leurs craintes, lui aussi il les ressent, lui aussi il a peur, il a peur depuis que il a rejoint l’armée, lui aussi des fois il se demande si il va mourir, si il va jamais pouvoir revoir ses amis, jamais revoir Marie. Mais il ne préfère pas y pensé, non, il préfère garder ça au fond de lui, et affronter les choses en face, assumer d’êtres rentré dans l’armée, il en a eu marre de voir ces hommes effrayer. Il sait mit au milieu du camp, il les a regarder, il a inspiré et respirer.

-De quoi avait vous donc si peur ?

-A ton avis ? De la mort. Dit un premier soldat

-Et alors, tu va bien mourir un jours, je vais mourir un jours, ils vont mourir un jours

-Qu’est-ce que tu insinue ? Demanda un deuxième

-Arrêter d’avoir peur, assumé d’être rentré ici ! Vous êtes a l’armée, sur le front et vous avez peur de vous faire tuer !? Vous croyez que c’est normal !? Si il faut mourir, on mourra, on mourra pour notre liberté ! On a une République a défendre, un Pays a défendre ,des familles à défendre ! On ne va pas laissé les Rois nous enlevé notre bien le plus précieux pour leur propres bénéfices !

Tous les regards se tourna vers lui petit a petit, intriguer que ce que il pouvait bien raconter. Les soldats ce demander qui était ce petit type, alors on l’écouta, on l’écouta plus que on écouta le Bonaparte, lui aussi il l’écouter d’ailleurs. NouNouille maintenant lancé sur ce que il raconter, continua.

-Ils veulent prendre notre liberté. Sachez le, les Rois sont des égoïstes, regarder les, ils vont nous faire la guerre pour nous arrachez ce que on a battit pour garder leurs biens ! Mais les biens des autres ils en n’ont que faire ! C’est pour ça que on fait la guerre, pour conservé ce que on a construit. On a construit l’égalité ! On a construit la Liberté ! N’ayez pas peur de mourir, si vous mourez, c’est pour notre liberté, votre liberté, celles de vos enfants ! Mais avant tout pour la France qui a trop souffert par la faute des Rois…

Silence, que voulez-vous lui répondre ? Comment répondre à cette déclaration ? Mais n’a-t-il pas raison au fond ? A-t-il réveiller, motiver, rassuré les soldats ? A-t-il fait preuve de bravoure et de courage rien que en parlant ? C’est ça NouNouille, il parle, vous l’écouter et il vous redonne confiance.

Ils ont tous écouter NouNouille, ils ont tous entendu ses paroles, et au fond, ils pensent tous que il a raison. Les soldats n’ont pas était les seuls a l’écouter les haut gradé aussi, comme je l’ai dit avant, le Bonaparte également là entendu, avec lui, d’autres Généraux, les deux Généraux atypique que NouNouille a rencontrer : Murat et Augereau, d’autres encore non présenter, également le Général qui avait gifler NouNouille l’an dernier, il était toujours là, même si NouNouille a réussi a l’esquiver le plus que possible. En ce 13 novembre 1796, ils ont tous réalisé une chose, ce jeune insolent, le gamin, il n’est finalement, pas si naïf que ça et quel sera le poids de ses paroles sur les soldats ?

Chapter 6: Arcole

Chapter Text

15 au 17 novembre 1796, la bataille d’Arcole, elle dura trois jours en tout. Je vous parle de cette bataille en particulier car elle fut l’une des plus marquante de la Campagne d’Italie et l’une qui a fait la légende du Bonaparte. trois jours à essayer de prendre le village d’Arcole férocement défendu par les Autrichiens qui refuser de laisser passait les Français. Mais on connait les Français, on connait surtout le Bonaparte, quand on pense a Arcole, on pense a Bonaparte qui franchi le Pont d’Arcole, une image qui reste gravé dans le mythe de ce personnage avec tant d’autres, Arcole fut pour sa légende, la première étape.

Vous vous doutez bien que une bataille de 3 jours, il y en a des chose a en dire, je ne vais pas rentrer dans les détails, tous vous racontez serait trop long. Alors je vais du mieux que je peux résumer la bataille d’Arcole. De la manière je l’espère, la plus honnête.

Dans l’armée Française pendant Arcole, on retrouve 4 personnages principaux, ceux qui vont mené les Français a la victoire, le Bonaparte que maintenant on connait déjà bien, Pierre Augereau que on a déjà mentionné mais pas parler en profondeur et deux autres que on va découvrir tout de suite, André Masséna, grand stratège oui, il va marquer son temps, mais il a aussi un vilain penchant pour l’argent qui va se développer encore plus dans le temps, il pille les villages et les gens démunie, juste pour s’enrichir, mais vous allez voir que c’est un drôle de personnages. Puis il y a aussi Jean Lannes, proche ami du Bonaparte, plus aimable que les autres, généraux si on peut le dire, enfin quelqu’un dont on s’attache vite, lui aussi va marquer son temps. Puis y’a les Autrichiens, avec 3 protagonistes que on ne va pas citer.

Si les trois Français : Augereau, Masséna et Lannes ont du reculer, enfin, reculer est un grand mot, ils ont pas reculer, ils ont pas était aussi vigoureux que le Bonaparte. Lannes est blessé, Masséna passe dans les marais. C’est Augereau qui sera le premier a prendre un drapeau et passé sur le ponts, mais les hommes ne le suivent pas, visiblement il ne sait pas comment leur parler. Bonaparte fait la même chose que lui, il prend un drapeau et passe le Pont d’Arcole, là est l’image si connu du Bonaparte passant le Pont d’Arcole, cette allure si sur de lui, si entrainant. Enfin on se souvient juste de se passage, car la vérité et que après cela, le Bonaparte se retrouvera bien dans de mauvaise situation, si Lannes, blessé, n’aurait pas était là et d’autres généraux également, qui sait ce qui aurait put alors se passé pour le Bonaparte.

Les Français on alors attaqué les Autrichiens par derrière, les Autrichiens l’ont su, ils ont essayé de se défendre, c’est comme ça que Masséna et Augereau les ont attaqué et que finalement, l’armée Française a put gagnée cette longue bataille qui a fait bien des dégâts. Le passages du Pont d’Arcole est un moment de cette bataille qui a fait bien des blessé et morts, pourtant on s’en souvient encore, c’est même l’une des images mythique du Bonaparte, il la passé aussi ce pont, on s’en souvient encore, on nous montres son passage sur le pont, mais pas l’après. Lannes et bien en plus d’être déjà blessé il est quand même allait aider son ami, ce qui lui vaut donc au totale trois blessure lors de cette bataille. Pourquoi Arcole reste la bataille la plus marquante de la Campagne d’Italie ? Pourquoi quand ont dit « Campagne d’Italie » on pense tout de suite a Arcole ? Je ne pourrais pas vous répondre, malheureusement je n’y étais pas.

Vous vous demanderez, qu’a fait NouNouille durant Arcole ? Il a parlait et c’est battu, « Vous voulez pas avancé ? Alors je le ferais pour vous tous ! » encore une fois, NouNouille c’est ça, il agit pour les autres, pas seulement pour lui, pour tout le monde, certes pas grand monde a pu le voir, on parle d’une bataille, pas le temps et de tirer sur l’ennemi et d’écouter un gamin au discours rempli d’espoir, mais certains l’ont vue, l’ont entendu, et l’ont dit « Celui-là, il faut l’écouter, pas juste le regarder ». Il eut la grande chance de ne pas être blessé lors de cette longue bataille, il n’était pas sur les premières ligne et croyez moi que il aurait tout fait pour y être devant, mais quel fou lui, personne veut être sur les premières ligne, être le plus exposé au danger et aux balles ennemi ! Enfin, il est capable de tout pour défendre sa valeurs, son pays, c’est un jeune homme passionné, je l’admire bien pour ça.

A la fin, le 17 novembre 1796, les Français on célébrer, comment ils aurait pas pu le faire ? On ressort de 3 jours de bataille et on gagne ! Il faut le fêter ça ! Il faut le célébrer ! Il faut crier « vive la France ! Vive la République ! » le soir on ouvrit les bouteilles et on a bu et manger, ça a bien durer…toute la nuit, ou alors j’exagère la situation c’est bien possible. Mais on la fêter cette bataille, j’en suis sur que les soldats ne sont pas rester muet, on la fêter et honoré les disparues, car ils sont mort pour la victoires.

NouNouille était avec ses amis, autour de plein d’autres soldats et du feu, on chante et on boit. Là, NouNouille était invisible, un soldat comme un autre, mais il s’amuser lui aussi, il était fier tout autant que les autres. NouNouille regarda vers le quartiers des hauts grader qui semblait…plus silencieux que chez les soldats.

-Vous pensez que ils fête ça aussi eux ?

-Quoi donc ? Dit Nicolas

-Les Généraux ? vous pensez que ils fêtes la victoire aussi ?

-Allons NouNouille ! Bien sur que ils fêtes se sont les héros, mais tu t’intéresses trop a eux, la vérité c’est que sans nous, qu’est-ce qu’ils ferons ?

-Moi je te dit ! Les héros c’est nous pas eux ! dit Pritave

-Il me semble que c’est pas toi qui a passé des jours devant des feuilles et a donner des ordres ? dit Mallet toujours aussi aigri

-Et puis quoi encore !? Ils donnent des ordres ok, mais c’est qui qui les exécute ces ordres !?

NouNouille a ri en voyant ses amis encore une fois d’embrouiller, enfin Mallet et Pritave s’embrouiller, c’était drôle de les voir ces deux-là.

-Tu sais NouNouille, tu devrais arrêter de vouloir te comparé toujours a eux, dit Nicolas

-Pourquoi, je fais que prendre exemple

-J’ai pas envie que tu devienne un Bonaparte, Aimé, sois toi-même, ton propre Général

NouNouille souris, c’est pour ça que il était particulièrement attaché a Nicolas, il lui disait toujours tout, il est lui-même attaché a NouNouille et fait tout pour le soutenir, mais il veut le voir devenir sa propre personne, pas être une copie des autres. Pendant que Mallet et Pritave était toujours en train de s’embrouiller, Lamy était déjà endormi sur le sol, oui endormi sur le sol ! alors que autour de lui c’est la fête !

-Je ne comprend toujours pas comment il fait, dit alors Nicolas, la prochaine fois il va dormir en pleine bataille

-Au moins, lui il est unique, dit NouNouille, amusé de voir son ami comme cela

Puis, la fête a continuer,  tous les Français seront fier de ses 3 jours de bataille, on a repousser l’Autriche et ça sera pas la dernière fois.

Chapter 7: La route de France

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La campagne d’Italie a continué pendant encore des mois. Il y a eu d’autres batailles marquantes jusqu’à la fin de la campagne, majoritairement remporter par les Français. Vous vous en doutez qu’enfin le 17 avril 1797, quand on annonça que la Campagne d’Italie est remportée par le France, quel soulagement, quelle joie, mais quelle tristesse pour ceux que ne reverrons jamais la France. Ils ont été honorés comme il le fallait par cette victoire. Comme certains vont dire, ils sont morts libre, pour leur pays, pour la patrie. C’est cette campagne qui donne la confiance des Français à Napoléon, maintenant on veut envoyer le Bonaparte partout, parce qu’il va forcément tout réussir, il va forcément amener la France a sa gloire, forcément défendre la Révolution de ces vilaines monarchies qui s’occupe d’affaires que ne les concernes en rien. On rit du jeune Empereur d’Autriche, le Saint Empire Germanique je veux dire, Empereur depuis quelques années et le voilà déjà humilier par une jeune France Révolutionnaire et une petite armée, les autres monarchies commencer maintenant réellement à se méfier de la France. D’accord, c’est eux qui pendant longtemps avait le contrôle, mais maintenant, il faut l’assumer…La France a repris les dessus, et les monarques européens ne sont pas encore prêt pour ce qui va suivre.

Les voilà sur la route qui va en France, les soldats enfin pourront revoir leurs familles après 2 ans de guerres acharnées, ils en auront des choses à en dire à leurs proches et amis, a quoi ça ressemble l’Italie, mais surtout les magnifiques victoires qu’ils ont remportées. NouNouille avait hâte de revenir à Paris, mais il y avait des jours de marches qui le séparer de Paris, ce n’est pas grave, s’il doit marcher des jours, il le fera, car c’est ce qu’il va faire toute sa vie.

C’est après plusieurs jours de marche qu’enfin, ils ont remis les pieds sur le sol français, on le reconnait ce sol français, il est aussi libre que ces habitants. C’est le sol du sud de la France, dur et chaud, c’est bien pour ça qu’elle est belle notre France, le sud sent la Méditerranée, le centre est rempli de prairie et de vache pendant que le nord est aussi froid que la Grande Bretagne, sans parler de la Bretagne et l’Est, l’Aquitaine et le Midi, la Savoie et la Corse, la Normandie et le Val de Loire, c’est tout ça la France. Et toute ces régions font la grandeur du pays, que tu sois de Paris où du plus petit village, tu es Français et libre. Soyez résolue à défendre la Patrie, Soyez résolue à la libérer, à abattre le dit pouvoir divin, c’est une tyrannie déguisée par la croyance. La Campagne d’Italie a servi à ça, le Peuple ne se laisse plus faire.

C’était la dernière pause avant le retour à Paris, la joie de la victoire est encore très présente. NouNouille était assis sur un tronc d’arbre, entouré par ses amis, ils se faisait des promesses, de toujours resté ensemble et de se revoir le plus possible entre les Campagne. Et puis là vérité c’est que en 2 ans, ils n’ont pas vraiment parler d’eux, plus concentré sur la Guerre en cours. C’était le moment idéal maintenant qu’ils sont libérés d’un poids, de parler d’eux même.

-Enfaite, vous êtes d’où ? Demanda NouNouille, toujours assis sur son tronc

-de Paris, pas de la ville même en vérité, je suis des banlieues. Dit Nicolas avec un pain à la main

-Moi aussi j’habite à Paris ! Cria comme à son habitude Pritave, Mais je suis né à côté de Versailles

-Pas obligé de hurler, on t’entend déjà trop. Dit Mallet, toujours aussi aigri, ça à pas changer, ça ne changera jamais. Moi je suis de Rouen, loin de Paris et ça me va très bien comme ça

Leur regard se tourna vers Lamy, toujours a moitié endormis, Mallet lui fait une tape a l’épaule pour le réveiller, qu’il revienne parmi les vivants.

-Y’a quoi… ? demanda t’il les yeux a moitié fermé

-Tu es d’où ? Dit Mallet, a moitié entrain de l’agresser

-Moi ? ...je suis de Paris moi…

Puis il se rendormis aussi tôt, sans surprise. NouNouille rigola, même pas surpris de la part de Lamy encore une fois. Mais, malgré tout ça, il ne pouvait s’empêcher de penser au Bonaparte, quel homme étrange, spécial quand même.

-Vous en pensez quoi du Bonaparte ?

-Bonaparte ? dit Nicolas,

-Bah ! s’exclama Mallet, il sait donner des ordres, c’est déjà ça

-Ta raison, dit NouNouille. Mais y’a un truc chez lui…

-Quel truc ?  Demanda Pritave

-Je ne sais pas…j’ai comme l’impression que…qu’il va faire quelque chose, ou devenir quelque chose, de grand, très grand. Il y a quelque chose dans ses yeux, l’Europe aura peur de lui

Ses amis l’ont regardé, silencieux, enfin à part Lamy qui dormait toujours, puis ils ont rigolé, ils trouver la réflexion de NouNouille drôle, que on les rappelle quand le Bonaparte deviendra Maître de l’Europe ! Ils veulent bien voir ça eux.

C’était leur dernier jour de marche, enfin après des jours, chacun était de retour chez lui, bien mérité. Ils c’étaient promis de se voir dans Paris, car chacun y résidé pour le moment. NouNouille enfin était de retour dans la rue où il cohabité avec Maris, elle lui avait manquer, il doit bien se l’avouer. Une fois rentré à l’intérieur, il fut d’abord accueilli par son jeune chien Noisette, puis par Marie qui ne put s’empêcher de le prendre dans ses bras. Il allait devoir lui raconter tout ce qui lui est arrivé pendant ces 2 ans. Le soir, Aimé a enfin put manger quelque chose de bon, au lieu que la vieille bouillit servit à l’armée.

-Tu sais Aimé, tu m’as tellement manqué, c’est étrange, on se connait depuis peu de temps et tu compte déjà tellement pour moi

Aimé, en l’écoutant était devenu tout rouge, la vérité c’est que lui aussi, lui aussi était tellement attaché a elle, sans savoir pourquoi, ils se connaissaient depuis que 2 ans pourtant, et c’est comme s’ils avaient grandi ensemble.

-Dit moi, es que la guerre fait peur ?

-Peur ? oh Marie, ça fait si peur, tu vis avec l’incertitude de pouvoir rentré chez soit

-Et toi ? Tu as eu peur ?

-J’ai eu peur Marie, peur ne pas pouvoir te revoir

Elle rigola légèrement, les joues légèrement roses. Elle se sentait si à l’aise avec lui, et lui n’avait plus aucun moyen à côté d’elle.

-Marie, a tu lus mes lettres ?

-tes lettres ? Aimé, je ne sais pas lire

-Quoi ?! Tu ne sais pas lire ?

-Ce n’est pas si évident pour tous le monde tu sais

Il resta là, bouche bée. Marie lui avoué que c’était Victor et Victoire qui lui lisait les lettres, eux ils sont issus de milieux un peu plus aisé, ils savent lire et écrire, mais la pauvre Marie elle, ses défunts parents n’avait aucuns moyens de lui fournir une éducation stable, eux même ne savent ni lire, ni écrire. Aimé lui a appris tous ça a l’Eglise, sa mère le laissait sous la garde des prêtres quelquefois des après-midis entiers pendant que son père travailler. C’est là-bas qu’il a appris tous ça, d’ailleurs sa mère voulait qu’il devienne un homme d’Eglise, avant que sa voie se dessine devant lui.

Le lendemain, Aimé était réuni avec Marie, Victor et Victoire. Il leur raconté tous, les batailles remportées par la France, le Bonaparte, il leur a énormément parler du Bonaparte, trop même. Il leur a aussi parler de ses amis à l’armée, il fallait absolument qu’il les présente ! Comme il dit « ils sont spéciale, mais incroyables ». Il leur a parlé aussi de ses discours, là où il a commencé à se faire remarquer, non pour son courage mais pour sa valeur, pour sa manière d’encourager. Il leur parla également de ses différentes rencontres, le Bonaparte bien sûr, a qui il a put parler une fois, mais qu’il a tellement observer, des deux généraux assez spéciaux, d’ailleurs il fit la remarque à Victor qu’il ressembler au Général Murat, mais Victor avait aucune idée de qui il parler… Le Général Murat ? bah il n’a jamais entendu parler de lui, il a aussi parler du méchant général qui l’avait giflé, oui en 2 ans Aimé ne l’avait toujours pas oublié, cette gifle était restée dans son esprit comme la marque de la main était resté sur sa joue. Pour finir sa si longue histoire, il leur dit, qu’il n’hésitera pas à reprendre les armes pour défendre la liberté de la France, qu’il le fait pour le pays, mais aussi sa famille, ses amis, pour tous les « gueux » de France, si longtemps maltraité par le sang bleu, jamais, jamais il ne laissera ça se reproduire et si il doit mourir pour ça, il mourra.

Chapter 8: La Famille Salesse

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Aimé profita de ce retour a la vie civile pour redescendre chez lui au Limousin pour voir sa famille. Il n’avait pas une famille bourgeoise, cependant ils vivaient correctement. La famille Salesse était installé en campagne, mais proche de la ville, Limoges. C’était une famille simple, comme les autres, pas nombreuse, seulement constitué d’un père, d’une mère et de trois enfants. C’était une famille catholique, sans histoire, installé dans la région depuis toujours, même si certains pense à quelque origine ibérique du côté du père à cause de son nombreux voyage fait en Espagne. C’est sûr que Monsieur Salesse aimé beaucoup voyager mais malheureusement son métier qui le passionné l’empêcher de voyager énormément, alors il compté sur ses enfants pour faire ce qu’il a toujours voulu faire.

Le père de la famille, François Joseph Salesse était un médecin, travaillant en ville, comme je l’ai dit c’était quelqu’un qui aurait préféré voyager, même s’il aimé son métier, il a dû choisir et préféré le travail. Ce n’est pas quelqu’un de méchant, bien au contraire, il était calme, détendu et à côté de son travaille entretenait sa maison et son élevage, car oui il avait ramené de ses voyages en Espagne des Andalous, de beaux chevaux qu’il garder sur son terrain, c’était maintenant une véritable dynastie de chevaux. Contrairement a sa femme, il a toujours laissé son fils faire ses propres choix pour son destin. C’est vrai que dans le voisinage on disait que c’était un père trop mou et qui n’était pas assez dur avec ses enfants, il ne répondait pas à ces gens, enfin il disait juste que au moins ses enfants seront heureux.

Sa femme, Jeanne Catherine est issu d’une famille très pieuse, elle a vécu toute sa vie dans la campagne, elle n’aimait pas la ville, c’était trop bruyant pour elle. Elle a rencontré François à l’Eglise, entre les deux ça toute suite était le coup de foudre et jamais ils n’ont été infidèle. Elle resté à la maison, a s’occupé des enfants et de la maison, ce n’était pas quelque chose qui la déranger a ce que on m’a dit, elle consacré sa vie a ça, ses enfants et la religion. Cette femme était tellement pieuse que parfois pendant la journée elle laissé ses enfants à la chapelle sous la protection de l’abbé, c’est là que Aimé a appris à lire et à écrire, cet abbé il était encore là quand Aimé est venu voir sa famille, certes il a vieilli, mais toujours le même, bien sur que Aimé est allé le voir, il lui doit bien une partie de son éducation.

Puis Aimé a deux sœurs. Sa sœur aîné, Marie-Hélène a 2 ans de plus que lui, c’est une grande femme qui ne se laisse pas faire, comme Victoire. Déjà mère d’un fils nommé Louis qui a maintenant 1 ans. Elle a toujours été là pour défendre son frère et sa sœur et s’il fallait c’était elle qui cogner les enfants du quartier dans leur jeunesse. La dernière de la famille c’est Charlotte, née 3 ans après Aimé, elle prend exemple sur sa sœur et son frère, ne laissant personne la contre dire, du moins comparé à Marie Hélène, Charlotte est plus joueuse, elle ressemble plus a Aimé. La fratrie était très proche, passant leur journée a joué dans les champs du voisin et embêter ses vaches, aidant leur mère dans l’entretiens de la maison, ou alors allait à la messe. Oui ce n’était pas une famille qui vivait dans le luxe, tous ce contenté des revenus du père, mais c’était amplement suffisant.

 

La maison familiale était dans une sorte de petite place où ce trouvé 3 maisons qui fessait comme un cercle quand on se trouvé au milieu. La devanture était fleurie, toujours entretenu par la mère de famille, depuis que ses enfants étaient assez grands, les fleurs était devenu son nouveau passetemps, elle les aimé ses fleurs et il ne fallait surtout pas les critiquer. Aimé a l’impression de ne pas avoir foulé le chemin de terre battue depuis une décennie ; il était parti il y a maintenant 5 ans. Rien n’a changé depuis son départ, juste les fleures qui change. Il s’arrêta avant de toquer sur la porte, il se demandé comment sa mère allait réagir, car sa mère pleure encore le Roi, le même Roi que Aimé a combattu. Il se décida et toqua a la porte, 3 fois, au bout de quelque seconde c’est sa sœur cadette, Charlotte, qui ouvrit la porte, en le voyant elle sauta dans ses bras, comme dit, Aimé et Charlotte était très proche. Elle le traina jusque dans le salon où était le reste de la famille, tous très émue de le revoir après de si longues années. Si c’était passé vite pour Aimé, pour sa famille ça faisait une éternité qu’il était parti.

Comme pour ses amis, il leur raconta comment c’était la guerre, tout ce qu’il a vue, fait surtout, ses rencontres, surtout le Bonaparte.

-Et Paris alors ? C’est comment ? lui demanda son père

-Paris ? Ce n’est pas si impressionnant que ce que je pensais, toute la ville croule sous les déchets et la moisissures…

-Pourquoi tu ne reviens pas ici alors ? lui demanda sa mère

-Parce qu’à Paris j’ai tout, mes amis et surtout c’est plus simple d’être sur la Capitale qu’ici

-Ah Paris, la ville qui a tout, ils ont surtout tué le Roi, des barbares je te dis

-Maman ! C’est fini, on ne parle plus du Roi…tu va devoir t’y faire, c’est la République maintenant

Marie-Hélène rigola un peu, elle tenait le petit Louis sur ses genoux et regarda son frère.

-l’Armée dans tout ça ? Tu as rencontré des types étranges c’est ça ?

-Des types étranges on peut dire oui, il y en avait un qui avait la même chevelure qu’un cheval ! Et un autre avec une tête de râpasse, mais il y a aussi le Bonaparte !

-Le Bonaparte ? Et c’est qui lui ? demanda Charlotte

-Un Général, pas plus grand que moi, mais un regard de glace, un brillant stratège ! C’est grâce a lui que on a gagné en Italie

-C’est comment l’Italie ?

-C’est chaud, ça ressemble un peu à ici, mais avec un air plus chaud et plus chantant

Puis il continua, à parler de Paris, de ses amis, de Marie, de la guerre, surtout de son but, de son rêve, il est encore loin, pourtant si proche. Sa famille était d’un temps passé, ils ne comprenaient pas trop ses ambitions, son rêve d’une France libre, pour eux la France était déjà libre, mais pour Aimé elle était étranglée, par qui ? Par les Monarques, mais Louis XVI est mort, on lui a coupé la tête, en lui coupant sa tête on coupe celle de l’absolutisme, celle de Louis XIV, Grand Roi Soleil, certes il fut Grand, Aimé ne dit pas l’inverse, mais il fut celui qui a planté la première lame dans le cœur de la France. Le Roi n’est plus, la France est renaît. Les Bourbons sont ceux qui ont fait le pire pour la France, Aimé veux la justice des Capétiens, pas le faste des Bourbons. Mais c’est quelque chose que sa famille a du mal à comprendre, ils ont vécu toute leurs vies sous les Bourbons, ils ont connu qu’eux, ils ont vue aucunes autres formes de pouvoir, rien, à part la déchéance du pays.

Le soir, Aimé était assis dehors, il faisait déjà nuit à cette heure-là, il y avait que lui et le bruit des criquets. Il regardé au loin, il était un peu triste, son chien lui manquer, au moins il est sûr qu’avec Marie, Noisette est entre de bonne main. Sa mère la rejoint, elle s’est assise à côté de lui puis est restée silencieuse un moment avant de parler.

-Je m’inquiète pour toi Aimé

-Pourquoi ?

-Je ne comprend pas ta vision du monde, mais j’ai peur, l’armée ce n’est pas un monde plein de gloire mon fils…j’ai peur de ne pas te revoir

-Maman, je reviendrais toujours

-Fait attention à toi

Elle se leva et laissa Aimé seul a nouveau, il est resté seul un moment avant de rentré pour se coucher. Il resta quelque semaine chez sa famille. Il allait en ville, accompagné son père au cabinet de celui-ci, accompagné sa mère et ses sœurs à la messe, jouer avec le petit Louis. Il apprit aussi l’idée d’une campagne en Égypte, cette idée d’aller en Egypte était loin de réjouir Aimé, pour lui c’était trop loin, trop loin des intérêt Français. Pourquoi aller en Egypte ?  Pour remplacer l’influence Anglaise et Ottomane ? Qu’est-ce que ça va apporter aux Français ? Aimé n’a pas trop été surpris quand il a appris que c’était encore le Bonaparte, qu’il la face sa Campagne d’Egypte, mais Aimé n’y participera pas, non c’était contre ses idéaux. De toute façon il a prévu de bientôt retourner à Paris.

Quelque jour avant de repartir à Paris, Aimé était avec sa jeune sœur Charlotte.

-C’est où l’Egypte ? Demanda Charlotte

-Je ne sais pas trop, en Afrique du Nord, en bas de la Grèce je crois

-C’est loin ?

-Oui je suppose, j’ai entendu dire que pour y aller faut traverser la mer

-Traversé la mer !? Cela doit prendre tellement de jours, rassure-moi tu ne vas pas y aller ?

-Non, c’est trop loin, d’ici et de mes intérêts, je vais rester à Paris et continué sur les conflits Européens, défendre les frontières de la République

-Bien dit mon frère

Après ça, Aimé allait remonter à Paris et ne pas redescendre avant longtemps, il est resté 5 ans à Paris avant de redescendre voir sa famille, il a été retenu par la Campagne d’Italie, mais puisque qu’il ne compté pas faire celle d’Egypte, il allait avoir plus de temps pour redescendre dans le pays et voir sa famille. Il les embrassa une dernière fois avant de quitter Limoges et remonté que Paris, il y remonter avec le sourire, ses amis lui avait manquer, et il avait aussi un objectif, présenté ses amis a ses frères d’armes.

Chapter 9: Victoire Beauvant

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1798, voilà que les Français parte pour l’Egypte, cette armée deviendra l’armée d’Orient. Mais on le sait, Aimé a refuser d’y participer, lui et ses amis militaires rester sur les conflit sur le front européens. Aimé avait déclaré que il s’occuper que de la France, l’Egypte c’est loin, sur un autre continent et ça juste pour frapper encore les Anglais. Pour Aimé, la campagne d’Egypte ce n’était pas national mais politique. Il préféré alors rester en France, combattre sur les front européens, sur des pays qui s’attaquer directement à la France et la République.

Mais cependant, il avait réussi a trouver en temps où tous le monde était libre, il avait enfin envisager de faire rencontrer toutes ses connaissances et à sa grande surprise cela c’était très bien passer, il avait en tête de faire un groupe soudé, malgré les différence de chacun, c’était peut-être ça qui faisait que ils s’entendait si bien, chacun était différent, avait ses propres idées, sa propre vision des chose, mais ils étaient tous d’accord sur une chose : une France libre. Ils étaient aussi différents par leur profession et classe social, Aimé, Victor et Mallet était les seul à venir d’un milieu de classe moyenne, ni trop riche, ni trop pauvre, de quoi vivre correctement, Nicolas venait d’un milieu déjà un peu plus pauvre comme Marie et Pritave et Lamy venait des milieu défavorisé, pauvre, enfaite dans leur groupe seul Victoire venait d’un milieu « aisé », elle a appris les arts par son père qui était un amateur à Orléans, elle est née en 1770, ce qui fait d’elle la doyenne du groupe. Elle est venu sur Paris seule, sans père ni mari, d’ailleurs se marié est loin d’être dans ses buts. Victoire est une femme indépendante, c’est comme ça que la décrit Aimé, « Fidèle a elle-même, indépendante, laissant ni homme ni femme lui dictée sa vie, et surtout, elle fait une leçon au vilain qui ose la siffler ». On ne siffle pas Victoire, car sinon on reçoit sa main, mais pas pour le mariage, pour la gifle, elle aime pas les hommes mal éduqué qui touche aux femmes comme si elles étaient des objets, Victoire a lue de Gouge, Victoire n’est pas une bourgeoise au rire fort, non Victoire a les yeux qui fusille, un regard qui te dit quand tu va trépasser, les lèvres de sang, Victoire impose le silence quand elle rentre et Victoire dirige. C’est une reine des hommes, une impératrice des femmes, elle est intouchable, c’est une pierre. Mais loin d’être cruelle, toucher au amis de Victoire et elle vous répondra.

Victoire elle les connais les hommes, d’après tout, dans leur groupe Victoire et la seule femme avec Marie. Les deux sont loin de se détesté mais son très différente. Victoire est une femme indépendante, Marie est plus discrète, plus timide, elle n’ose pas vraiment se faire remarquer elle serait capable de dire pardon quand on la bouscule en ville, ce qui ne fait pas autant d’elle une fille peureuse et lâche. On s’en peut-être pas compte, mais Marie est plus importante que elle en a l’aire, c’est cette fille timide et discrète qui est l’appui, la force a Aimé de faire face au armées d’Europe, sans Marie, de quoi Aimé serait réellement capable ? 

A elles deux, elles confronte toujours le monde masculin, majoritairement militaire. Mais rappelons-le que malgré que les hommes sont majoritaire dans le groupe, ils n’ose pas baver sur l’image de Victoire et même Marie, elles sont des femmes trop respectable, enfaite dans ce groupe, ce n’est pas les hommes majoritaire qui guide, mais les femmes minoritaire.

Ils avaient regardé les départs des troupes, quittant Paris pour rejoindre le reste de l’armée au sud, on crier vive la France, vive la République, on applaudissait les soldats courageux de quitter le continent pour aller sur terre inconnu. Victoire et les autres les regarder, comme une mère elle frapper les soldats au dos « met ton chapeaux maladroit ! » elle disait a l’un, « tu tiens ton fusil comme un enfant ! » elle disait a l’autre. A la fin du « défiler » et après que Victoire est recalé la majorité des soldats partie, le groupe c’est promené dans un parc. En se promenant notre groupe était passé devant deux types assis sur un banc, qui ne sait pas du tout retenu de lâcher une mauvaise remarque au groupe, énorme erreur. «  Eh bien, vous vous faite plaisirs messieurs ». Victoire se retourna vers eux, les yeux enrager.

-Pardon !?

-Bah quoi ? Je dit juste une fait, dit le premier type

-Oh le vilain !

-Oh attention, la lionne s’énerve ! dit le deuxième en rigolant

-Venait là si vous avez des couilles ! Vous parlez comme ça a vos mère ?! Victoire rempli de furie se dirigea a grand pas vers les deux vulgaire type et sans rien dire, ni prévenir elle le gifla, l’un avec la main, l’autre avec son gant.

-C’est pour m’avoir manquer de respects ça ! Bande de porcs !

Et pendant que Victoire s’occuper de ces deux vilains garçon, le reste du groupe l’attendait, Nicolas, Pritave, Mallet et Lamy qui était les seul a ne pas vraiment connaître Victoire resta là un peu choqué, Lamy était pour la première fois bien réveiller.

-Oh mon dieu, lâcha Pritave

-Elle a du cran elle, murmura Lamy

Victoire finit par rejoindre le groupe et leur promenade continua comme si rien de c’était passé, seul Victor osa reparler de ce qui venait de se passé.

-Quand même Victoire, tu n’étais pas obligé de les frapper…

-T’en veux une peut-être, retourne manger tes huîtres

Oui, Victor est bien le seul du groupe à avoir le courage de manger des huîtres, il en raffole même. Ils ont fini leur promenade et chacun rentra chez soit, avant que Victoire ne rentre également chez elle, Aimé l’interpella.

-Tu sais Victoire, a l’armée j’ai vue une femme comme toi

-Comme moi ?

-Oh oui, forte et qui ne se laisse pas faire

-Je pensais que les femmes n’avait plus le droit de rejoindre l’armée ?

-Oui, mais elle c’est différents, a ce que j’ai compris, son régiment on fait une lettre pour que elle soit une exception

-Eh bien, dit lui le bonjours de ma part, Monsieur NouNouille, a bientôt

-A bientôt Victoire

Puis elle rentra chez elle, ne laissant que Aimé et Marie qui rejoignait également leur immeuble. Cette femme dont Aimé a parler a Victoire, elle s’appelle Marie-Thérèse Figueur, c’est une cavalière et il faut le voir de ses propres yeux pour confirmée que cette Thérèse, bon dieu que elle est libre de ces gestes. Il existe des milliers de Marie-Thérèse Figueur dans le monde, Victoire en est une. Ah Victoire, la peintre qui vous menace avec ses pinceaux et qui vous défend avec toute sa force.

Chapter 10: Le Retour Aux Armes

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Aimé était à l’extérieur de Paris, devant la Seine il joué avec son chien Noisette. Il lançait un bâton, son chien courait pour le récupérait et lui ramenait pour recommençait. Il faisait beau ce jours-là, pas de nuages dans le ciel, un léger vent chaud, l’herbe verte et la Seine calme. Pas très loin de lui, son ami Victor était allongé dans l’herbe et regarder le ciel. Aimé la rejoint, il la regarder un instant avant de s’assoir a côté de lui.

Victor c’est un peu cette ami avec un peu trop d’égo et qui au final ne ferrait pas de mal a une mouche. Il est né en 1772, ce qui fait de lui le plus ancien du groupe après Victoire. Victor il est de Paris, originaire de la classe moyenne, ses parents n’était pas en difficulté, mais ils pouvaient pas tous se permettre. Avant la Révolution il était apprenti en Banque, il a toujours eu le sens des finances, sauf que l’entreprise c’est vue voir fermé a cause de l’arrivé de la Révolution, alors actuellement notre pauvre Victor patiente, il espère des choses sans forcément agir, eh bien il va devoir attendre encore. Victor n’est pas quelqu’un de méchant, au contraire, on le croit d’abord un peu trop vaniteux, trop sur de lui, maître de la situation, mais comme je l’ai dit, il ne ferait pas de mal a une mouche. Il dit tout le temps que ses parents lui on appris a être juste et discipliné. Juste c’est d’accord, mais discipliné c’est un terme à revoir. Il peut vous faire penser a quelqu’un que Aimé a déjà fait remarqué, notre grand Général Murat. La seule différence c’est que Murat a un charisme que Victor n’a pas. La vérité c’est que derrière ses faux grands airs, Victor a un cœur d’artichaut, le pauvre est depuis toujours épris de la forte Victoire. Aimé c’est allongé a côté de lui et la regardé longuement avant de lui parler.

-Tu pense à quoi ?

-Rien, à rien.

-Pff, je te connais, a quoi tu penses ?

-Tu te moques pas de moi d’accord ?

-Oui, promis.

-A ton avis, es que Victoire m’aime bien ? même un tout petit peu… ?

-Victoire ? Je sais pas, elle ne laisse passer aucune émotion tu sais.

Victor soupira, il avait un peu peur, mais en face de son ami il ne voulait pas se laissé passé pour un faible. Il aime Victoire, mais ça se peut que pour elle, il est qu’un ami. Ils ont finit par se relever pour retourné en ville. La tranquillité sans lentement transformé en un brouhaha insupportable. Déchet au sol et mendiants, ça faisait quand même un choque, une capitale si triste. Aimé attrapa un journal au sol. La Campagne d’Egypte durer toujours, rien d’y voir le nom ça le faisait grincer des dents, foutu campagne inutile. En parallèle, Aimé compté bientôt rependre les armes, les fronts Européens sont toujours actif et surtout, l’Autriche a repris du terrain en Italie, il fallait alors peut-être envisager une seconde Campagne d’Italie. Puis la Campagne d’Egypte ne présenter pas les résultats espérer, plusieurs défaites et finalement la présence Anglaise et Ottomane est toujours importante sur le territoire Egyptiens. Puis, si il y a une chose dont les habitants de France ignore encore, c’est que les Soldats Français avaient intérêt de ne pas se faire attraper par les troupes arabes. On rapporte des témoignages pas beau à décrire. Finalement dans une guerre, les soldats sont tout autant victime que les civiles, même si ils étaient déjà des victimes avant, placé comme des pions sur le jeu de la Mort. Les dirigeants sont mettent surement plein la gueule pendant que des jeunes et vieillard perde leur vie loin de chez eux pour leurs idées les plus douteuses.

 

Alors comme prévu, Aimé reprit l’uniforme, Aimé redevient NouNouille. Avant de repartir pour un temps incertain, il sera Marie dans ses bras et sans oublié Noisette également. Promettant a Marie, Victor et Victoire de leur  envoyé des lettres le plus souvent possible. Avant de fermer la porte, il reprit une dernière fois Marie dans ses bras et il était parti. Il était également content de retrouvé ses amis, Nicolas, Pritave, Mallet et Lamy, eux aussi ils lui avaient manqué. Le voilà partie maintenant, a recommencer a porter un fusil plus grand que lui, a marcher des kilomètres avec quelque pauses tous les X heures. Mais cette fois si le Bonaparte était pas là, peut-être pour ça que les Autrichiens on repris du terrain en Italie. Il fallait de retour le Bonaparte, il ne réussi pas en Egypte, alors que il revienne en Italie, ici on aurait bien besoin de lui. Justement l’Italie, le revoilà partie là-bas. De retour le sud,  les plaintes de Mallet sur le faite que l’air est trop chaud pour lui. Mais deviner ce que a fait NouNouille pendant tous le trajet ? Il a parlait, fait ses beaux discours, si petit et si entrainant dise certains. D’autre le regarde avec un mauvais œil, mais est-il réellement possible de nier ce que il dit ? De ne pas acquiescer quand soit même on a fait les guerres pour sauver la Républiques, on y est encore dans les Guerres de la Révolution. Non, NouNouille ne se fait pas des illusions, il récite des faits, il voit tous, il préfère rester du côté des soldats que de frimer comme les hauts gradés qui maintenant le dégoute. Oui, maintenant NouNouille est dégouter des Hauts Gradés, pourtant il voulait tout le temps se comparé a eux, il veut lui-même devenir Général. NouNouille ne veut pas être Général pour ensuite se venter et oublié d’où il vient, Général ou pas, NouNouille restera toujours parmi les siens, et les siens, c’est les soldats, car c’est comme ça que il a commencé et malgré son rang, il restera toujours un soldat.

Chapter 11: La Lettre d'Adjudant

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Suivre Aimé au début de cette période va se révéler légèrement compliquer, plus compliquer que je l’avais prévue. C’est une période assez mal documenter, il manque des choses pour la compléter, alors je vais essayer de vous raconter quelque chose. Je vais essayer de continuer en restant fidèle, mais il y aurait des trous, alors ne me blâmer pas, malheureusement je fais comme je peux.

Ce que je sais, c’est que durant cette période, où l’Autriche a repris du terrain en Italie, où Bonaparte était loin en Egypte, Aimé n’a jamais cesser de voir au de là des autres. C’était comme un grand mur, un mur de déception, de lamentation, haut, très haut. Et personne à essayer de regarder aux dessus de ce mur, NouNouille à essayer, malgré sa taille, il s’est mis sur la pointe des pieds, à sauter, c’est agripper à la paroi, tout ça juste pour voir au-delà du mur. Ce qu’il a vue là-bas, c’était la France, avec tout en haut, un homme, un seul, un homme puissant, l’homme que les Français attendez. Cela a fait peur a Aimé, il a douté, es qu’il fallait vraiment se battre pour un final avoir le retour d’une seule personne au pouvoir ? Mais cette personne semblez aussi être plus importante que les précédents, il va faire quelque chose, il va marquer l’histoire du Monde pour toujours, la Terre pourrait mourir, le dernier nom dont tous les peuple se souviendra ça sera le siens. Si cette personne ferrait une France grande ? Mais s’il se perdait dans le pouvoir ? Finalement est-ce vraiment possible un pays grand sans un seul homme. Il faut bien se l’avouer, tous les grands dirigeants on diriger seul. La République allait-elle finalement pas sombrer aussi vite qu’elle est apparue ?

Mais ça également était une grande étape pour NouNouille, si durant cette période, pourtant pas vraiment glorieuse que NouNouille a était promu. Enfin, notre bon NouNouille a était promu, sergent, adjudant. Cela la peut-être surpris de ne plus être traiter comme un soldat, il voyait des gens qu’il voyer tous les jours lui parler de manière déjà plus digne qu’avant. Cela ne lui plaisait pas trop, il ne voulait pas que on lui parle comme ça, il ne voulait pas que on lui adresse la parole en l’appelant par son grade par « respect », non, lui il était NouNouille est rien d’autre. Il était mal alaise quand on lui parler de cette manière, et les seuls qui respecter NouNouille c’étaient les soldats le plus proche de lui et surtout : Nicolas, Pritave, Mallet et Lamy, bien sûr. Mais ils étaient fiers que leur NouNouille soit promu, il fallait les voir quand ils ont appris la nouvelle. Quand NouNouille est arrivé vers eux en courant avec le plus grand des sourire. Ils l’ont pris et l’ont soulevé le plus haut possible, c’était plus NouNouille, c’était Adjudant NouNouille, certes c’est petit, mais c’est grand pour eux. Et ils ont juraient, d’être les premiers aux ordres de leur Adjudant NouNouille. Et puis bien sûr, il c’était vite empressait d’écrire à Marie, et soyez heureux, car cette lettre adresser à Marie, je l’ai.

« Ma chère Marie, et puisque je sais que tu liras ceci grâce à Victor ou Victoire, je m’adresse à eux aussi. J’ai une très grande nouvelle à vous faire parvenir, je ne sais combien de temps cette lettre mettra à arriver jusqu’à vous, mais de toute façon même dans 10 ans je pourrais vous dire ceci avec la même joie. Certes je n’ai pas sauvé la France, ni l’armée, mais j’ai sauvé mon honneur, jamais je ne me suis laisser abattre. Je suis maintenant Adjudant ! oui désormais c’est Adjudant NouNouille, mais je n’aime pas cette manière dont les soldats s’adressent à moi, je trouve que ça fait froid et distant. Je préfère encore quand ils m’appellent NouNouille, là je sais reconnaître les fidèles. Mais j’ai remarqué que Messieurs les Hauts Grader mais regarde toujours comme si j’étais un moins que rien. Bien qu’ils continuent, je ne vais pas me remettre en question a cause de ces grands prétentieux au pantalon trop serré. Même que certains ont essayer de me dire que je dérange la discipline des soldats ! Beaucoup m’ont conseillé de les ignoré, mais tu me connais, je ne me suis pas laissé faire comme ça, ils me prennent de hauts, je les prends comme mes égaux. Mise à part ces vilains, le plus important que je voulais te dire c’était ma promotion, j’en suis encore tellement heureux. J’espère que de votre côté à Paris, tout se passe bien, vos lettres me font toujours un pur bonheur, portez vous bien.

                                                                                                                         Aimé Salesse « NouNouille » »

Toujours autant ambitieux même dans ses lettres, il a surement dû écrire la même lettre à sa famille, malheureusement celle-ci je ne l’ai pas. Sa lettre arriva à Paris quelque jours après l’avoir envoyé, bien sur Marie était toujours impatiente de recevoir ses lettres et dès que l’une d’entre elles arrivée elle s’empresser de courir vers Victor ou Victoire pour qu’ils la lise.

 Paris, quand le courrier est arrivé dans l’immeuble de Marie, elle s’est empresser si elle avait reçu quelque chose de la part de Aimé, et c’était le cas. Elle n’a même pas pris le temps de rentré chez elle, non, tout de suite elle s’est précipitée chez Victoire, sur la rue elle a bousculé plus d’une personne, mais elle reste une fille polie, alors même si elle bouscule quelqu’un, elle dit pardon et retourne à sa course. Arrivée chez Victoire, une rue déjà bien plus propre que chez elle, elle a frappé la porte jusqu’à ce que Victoire vienne lui ouvrir. La pauvre Victoire a ouvert la porte complétement affolée.

-Qu’est-ce qui se passe !? Qu’est-ce qu’il y a ?!

-Vient ! J’ai une lettre d’Aimé, on va chez Victor !

Elle l’attrapa par le bras, Victoire avait à peine le temps de fermer sa porte que Marie l’avait déjà emmené vers le domicile de Victor. Arrivé chez lui, elles sont rentrées comme si c’était chez elles, Marie était impatiente et a donné la lettre à Victor pour qu’il se dépêche à la lire. Marie et Victoire c’était assise sur le canapé pendant que Victor a ouvert la lettre et à commencer à lire. Elles étaient totalement silencieuses pendant que Victor lisait d’un calme surprenant, de la manière dont il lisait, on aurait dit une mauvaise nouvelle. Puis il a posé la lettre sur la table et les a regardés avant d’avoir un sourire béat.

-Aimé est adjudant ! Cria-t-il

-Il est devenu adjudant !? s’étonna Victoire. Oh, ça m’étonne alors que ça ne devrait pas

-Il faut lui écrire ! Dit Marie. Il faut lui envoyer nos félicitations !

Elle prit un papier et un crayon et le donna à Victor pour qu’il écrive quelque chose a Aimé, leur soutien à tous les trois. Une fois poster, ils ont passé la soirée à fêter l’évènement, même à des milliers de kilomètres d’Aimé, de NouNouille. Lui-même l’avait fêté toute la soirée avec Nicolas, Pritave, Mallet et Lamy. Les pantalons serrés ne seront pas contents, et puis merde, d’après tout, eux même s’enfile quand ils le peuvent. Ce soir NouNouille a était célébrer, seulement dans un petit groupe de soldats, que des proches de NouNouille, que des gens assez humains pour l’entendre. Adjudant est certes un petit grade, mais pour NouNouille, c’était le plus compliqué a passé, une fois avoir obtenu un grade plus important, il serra plus difficile de l’ignoré.

Chapter 12: Saint Raphaël

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Octobre 1799, ville de Saint Raphaël au sud de la France pas très loin de Marseille. Un navire français vient d’accoster au port de la ville, on pouvait s’attendre à un simple navire marchand ou quelque chose d’autres, mais c’était bien différent. Un navire qui transporté des militaires français revenu d’Egypte, pourtant la Campagne d’Egypte n’est pas finit, théoriquement ses militaires n’ont pas le droit d’accoster ici, pourtant ils viennent de le faire en toute illégalité, de quoi vite attiré les regards. On regarder par curiosité qui pouvait revenir comme ça de l’Egypte. Plusieurs personnes sont descendu, les unes après les unes, jusqu’à ce que ça soit lui qui descende, son retour en France. Le Bonaparte est revenu en France. A sa vue il y a eu un silence, avant que on dise « Vive Bonaparte », « vive la France ».

Au même moment, Aimé était dans le camp militaire installé par très loin, surement fait pour accueillir le Bonaparte a son arrivé. Aimé était installé dans sa tente, entrain de rédiger des rapportes pour un tel et un tel quand son ami Nicolas et venu le voir.

-NouNouille, veut que tu vienne voir. Lui dit simplement Nicolas.

Alors Aimé c’est levé et là suivit dehors. On entendait des murmures, des hypothèses, apparemment Bonaparte est revenu en France. Aimé a regardé les soldats autour de lui, Bonaparte ? En France ? Il était sensé être en Egypte, Aimé n’a rien entendu sur un potentiel retour de sa part. Il serait alors retourné en France de manière clandestine ? Aimé le voyait venir, Bonaparte n’est pas revenu en France pour rien, il y a une raison derrière son retour clandestin. Quand Bonaparte a pensé un pied dans le camp, tous le monde la acclamé, tous le monde à part Aimé, ses amis aussi sont rester silencieux. Le Bonaparte est rentré dans une maison, il y est resté longtemps, des heures, de quoi il parler pour rester autant de temps à l’intérieur ? Aimé ne le sait pas, mais c’était quelque chose de sérieux, surement quelque chose a voir avec le Directoire. Puis il est sortie, les soldats avait déjà repris leurs activité, peu on remarqué que le Bonaparte était sortie. Mais Aimé lui, il a vue le Bonaparte, et il allait lui adressé quelque mots. Il c’était approché de lui doucement, mais avec aucune timidité, il lui a déjà parler d’après tout. Arrivé derrière lui, Aimé c’est raclé la gorge pour faire remarquer sa présence.

-Excusez-moi, Monsieur le Bonaparte ?

En entendant une voix de gamin naïf, le Bonaparte c’est retourné et a vu une personne qui lui semblé familière mais dont le nom lui a échapper.

-Vous êtes qui ?

-Vous vous souvenez plus de moi ? Bon c’est pas grave, je me ferrais un plaisir de vous redire mon nom.

-Attendez…votre tête me dit quelque chose…eum…Louis Selesse ?

-Uhh…c’est Aimé Salesse.

-Je me disais bien, vous êtes le gamin insupportable avec le surnom ridicule ?

-C’est moi-même. Aimé le dit d’une manière fier de lui.

-Bah alors, qu’est-ce que vous me voulez ?

-Déjà pas besoin de me vouvoyez, est-ce que j’ai la tête d’un aristo avec comme ancêtre le Roy de France ?

-Pas trop effectivement.

-Je voulais savoir, pourquoi vous êtes revenu ? Vous étiez sensé être en Egypte ?

Le Bonaparte la regardé froidement, il allait clairement pas répondre à sa question.

-Hum, c’est quelque chose de confidentiel Salesse…Mais…TU le sera bientôt a mon avis.

Puis il est partie, laissant Aimé comme un idiot comme si il ne l’était pas déjà seul au milieu du camp. Quel réponse étrange, Aimé se faisait plein de film dans la tête, qu’est-ce que ça voulait dire ? Que compte faire le Bonaparte ? C’est là que Aimé a eu une réalisation, pas le temps de resté ici comme un idiot, il courra retrouver ses amis.

Nicolas, Pritave, Mallet et Lamy était assis en rond en face d’une buche d’arbre entrain de regardé un combat entre deux scarabées quand Aimé est arrivé vers eux en courant. Ils ont levé la tête vers lui, se demandant pourquoi il était dans un tel état.

-Bah alors mon p’tit NouNouille, qu’est-ce qui t’arrive ? Demanda Pritave

-Je viens de réalisé quelque chose…d’énorme. Dit Aimé essouffler.

-C’est quoi ? Lui demanda Nicolas

-C’est a propos de Bonaparte…

-Ah bah tiens il nous a manqué lui…Dit Mallet totalement blasé

-Je crois…je crois que il compte prendre le pouvoir…Aimé a chuchoté sa révélation, il ne voulait pas que on l’entende.

-Prendre le pouvoir !? Pritave a explosé de rire, pour lui c’était insensé.

-Non mais je suis sérieux !

-Il te la dit ? Demanda Nicolas

-Non…mais tout laissé le comprendre ainsi.

Aimé était sûr, en tout cas pour lui c’était une évidence, mais pour ses amis, pas du tout, d’après tous pourquoi Bonaparte prendrait le pouvoir ? A quoi cela lui sera utile ? Alors Aimé c’est empressé d’allait écrire à Marie, Victor et Victoire. Napoléon est revenu en France, c’est forcément pour quelque chose d’important. Aimé était certain que cela avait quelque chose a voir avec le Directoire. Personne n’aimait vraiment le Directoire, on se demandé a quoi cela servait même, des députés loin d’être populaire. Aimé lui-même n’était pas partisan du Directoire, mais de toute façon depuis le début de la République aucun régime a était satisfaisant, tous des incapables. Là était peut-être la réponse, des députés détesté du peuple, un général qui est adoré par le peuple revient au pays clandestinement. C’était évident, trop évident.

 

Paris, Marie était dans son salon, elle tenait la lettre d’Aimé dans ses mains, elle essayait de lire, elle voulait lire, mais aucun mot lui venait. Alors elle s’est levé lassement puis a quitter son appartement pour aller chez Victor, sur le chemin elle ce répété en boucle dans la tête que elle devait apprendre a lire et a écrire, Aimé serait tellement content si elle pouvait lire elle-même ses lettres. Arrivé devant l’immeuble de Victor, elle a ouvert la grande porte et a monter les marches jusqu’à l’appartement de son ami, devant elle a toqué a la porte gentiment. Victor lui a ouvert et la fait rentré. Ils ont discuter d’abord un instant, avant que Marie lui donne la lettre de Aimé. Il la lue dans sa tête, les sourcils froncé.

-Alors ? Demanda Marie, curieuse.

-Bon…Bonaparte est revenu en France.

-Bonaparte ?

-Oui tu sais le Général, le petit Corse que tout le monde adore.

-Ah lui, et alors ? Il est revenu en France ?

-Eh bien oui, c’est ce que dit Aimé…il est revenu alors que il avait pas le droit.

-Mais pourquoi faire ?

-Bah, Aimé pense que…Victor c’est penché vers elle et a chuchoté. Il pense que Bonaparte va prendre le pouvoir…

-Le Pouvoir ?!

-Chut !

-Oh pardon…Mais pourquoi faire ?

Victor haussa les épaules, qu’est-ce qu’il en savait d’après tout ? Il est pas dans les pensé de Bonaparte.

-Aimé dit que c’est évident…que vue que le Gouvernement est impopulaire et que le Bonaparte est populaire…bah il en profiterait ?

-Oh, quel malhonnête ce Bonaparte, de toute façon il m’a jamais inspiré confiance !

-Chut ! Tu veux finir sur la liste de Fouché !?

Marie c’est mit les mains sur la bouche et agitant la tête. Personne veut finir sur la liste de Fouché, quel monstre, quel diable. C’est une ombre qui rode sur Paris, il voit tous, il entend tous. C’est au même moment que Victoire a frapper a la porte, Victor est allé lui ouvrir un peu surpris de la voir.

-Bah-bah-bah Victoire ? Tu fais quoi ici ?

-Bein quoi ? J’ai pas le droit de te rendre visite ? Puis Marie est là

Elle est rentré comme la maîtresse des lieux et c’est assise a côté de Maire, sentant que quelque chose n’allait pas.

-Il se passe quoi ici ?

-C’est Bonaparte. Dit Marie, puis en chuchotant. Il est revenu en France…

-Et pourquoi donc ?

-Aimé pense que c’est parce que il veut prendre le pouvoir…Chuchota également Victor

Victoire a juste soupiré. Quel époque étrange, quel gouvernement faible. Si le Bonaparte voulait prendre le pouvoir, il le peut, même très facilement vue sa popularité au près des Français. C’était le 9 octobre 1799 que le Bonaparte a accosté sur les côtes sud de la France, et a ce moment précis, personne ne se douter, ou alors on faisait sembler de ne pas s’en douter que dans un mois pile, le plus gros basculement de l’Histoire de France aura lieux.

Chapter 13: Le 18 Brumaire

Summary:

I can see you coming, you clever little devils, the Count of Auxerre mentioned here is fictional!

Chapter Text

18 Brumaire an VIII, c’est une date qui reste marqué dans l’histoire. C’est entre le 17 Brumaire et le 20 Brumaire, ou alors du 8 au 11 novembre 1799, que c’est déroulé au Château de Saint Cloud un « coup d’Etat », enfin on c’est pas trop, c’est ce que on raconte dans les rues de Paris. On entend des « apparemment » dans tous les sens, apparemment le Bonaparte a renversé le Directoire, apparemment il a utilisé l’armée, apparemment il y a eu un Coup d’Etat. Mais, la population n’a pas était surprise a l’annonce de la chute du Directoire, fallait bien que ça arrive un jours et en plus c’est Bonaparte qui a pris le pouvoir a la place ! Dans les rues on criait « Vive Bonaparte ! » .

Je ne vais pas vous raconté tous le Coup d’Etat, ça a duré sur plusieurs jours. Mais sachez que c’était une idée préparé par l’Abbé Sieyès, diriger par le Bonaparte, aidé par son propre frère Lucien et d’autres proche de Bonaparte. Les Députés était d’ailleurs très résistants et fermé à tous ce que on leur disait, on dut les sortir de force, alors que le Général Leclerc a lui tenté d’être doux au près d’eux, c’est Murat qui prend les chose en mains en s’écriant « Foutez-moi tout ce monde dehors ! ». Je n’invente rien. Les Députés étaient clairement pris en otages par l’armée, ils ont étaient forcé de quitter la salle mais cependant ils ne pouvaient pas rentré à Paris. Ceci signe donc la fin du Directoire et de la Révolution Française après 10 ans.

C’est le début du Consulat, avec a sa tête Trois Consules : Napoléon Bonaparte, Jean-Jacques-Régis de Cambacérès et Charles François Lebrun. Mais bien évidemment c’est le Bonaparte qui garde la majorité du pouvoir. Il est Premier Consule. Aimé avait alors raison, il avait tout vue venir, c’était aussi énorme que l’égo de Murat. Il était assis sur une chaise a regardé ses amis avec un air de « je l’avais dit ». Pritave c’est raclé la gorge ;

-Bah on pouvais pas le savoir aussi…Dit il

-Vraiment ? Lui rétorqua Aimé

-Oui…

-Bon…ok c’est vrai que c’était prévisible. Dit Nicolas

-C’était plus que prévisible…ça se sentait. Dit Aimé

-Faut pas abusé aussi…Dit Mallet en toute lenteur

Lamy c’est réveiller, il a relevé sa tête de l’épaule de Mallet , les yeux a moitié ouvert, il a regardé autour de lui.

-Qu’est-ce qu’il y a…

-Le Bonaparte a pris le pouvoir. Lui répondit Aimé

-Ah…bon…d’accord. Puis il a reposé sa tête sur l’épaule de Mallet et a recommencer a dormir. Pritave la regardé.

-Faut vraiment qu’on lui apprenne a resté réveiller plus de 10 seconde…

Aimé a soupiré, il c’est levé lentement. Il allait retourné a Paris, voir Marie, Victor et Victoire. Il a entendu dire que il y allait avoir une deuxième campagne d’Italie, c’est pour ça que il voulait retourné a Paris. Pour revoir Marie, avant de repartir. Cela le fatigué un peu, des campagnes dans tous les sens, et il devait bien l’avoué a lui-même, mais il avait hâte que ça ce calme, que il y est juste un moment de paix. Le soirs même, Aimé préparé ses affaires pour rentré à Paris quand Nicolas est venu le voir.

-Tu l’air fatigué NouNouille.

-hum…J’ai pas dormit.

-Tu devrais essayer de te reposé avant de remonté à Paris.

-Je sais…mais j’arrive pas à dormir…

-Pourquoi ?

-Nicolas…Es que tu pense que la guerre va s’arrêter ?

- …Je sais pas.

-On a encore une Campagne d’Italie devant nous…

-Qui sait, peut-être que après celle-là, on sera tranquille pendant au moins…3 ans ?

-3 ans ? Je pense que la paix dura bien moins longtemps que 3 ans.

Nicolas est allait se couché après sa discussion avec Aimé. Le matin, il leur a dit au revoir et a bientôt puis le revoilà partie pour Paris. Il commençait à connaître la route par cœur maintenant. Tout au long de sa route il a entendu des « vive Bonaparte ». Mais où nous mènera Bonaparte ? Aimé voyait en Bonaparte un Général, oui, un grand, mais pas un dirigeant. Alors ça lui faisait peur d’avoir un militaire au pouvoir, mais qui sait ? Peut-être que le Bonaparte sera au final un bon dirigeant. Sur son chemin, il passé par la Bourgogne, il a jamais vraiment pris le temps de regardé en détaille la Bourgogne. Mais maintenant que il a le temps, ça ressemble à son pays, mais il n’y avait pas de limousine. Il y avait de grande plaine verte qui s’étendait sur plusieurs kilomètre, comme dans son Limousin natale, il faisait frais, le ciel était bleu, sans nuage et ça sentait la paix, une odeur que Aimé a oublié, lui qui a fréquenter que les champs qui puait la poudre a canon. Il c’était arrêter dans une ville au nord de la Bourgogne, Auxerre, il a du déjà s’y arrêter sans doute, mais ça du lui échapper. C’est une petite ville, pas énorme, ni minuscule, calme, sans grand désordre comme à Paris. Il c’était installé dans une taverne au centre quand derrière lui il entendit la conversation de locaux, ils parlé de l’ex Comte d’Auxerre qui a était guillotiné à Paris en 1792, que ce même comte avait un fils qui avait finit par rejoindre l’armée Républicaine. Aimé n’osa pas intervenir, mais ça la intrigué. Il a essayé d’écouté un peu plus de manière discrète. Il entendait pas trop bien, mais il a réussit a comprendre juste un nom, le nom de Delmont d’Auxerre, mais sinon, rien d’autre. C’était inutile que il reste ici plus longtemps, il a payé et a quitter la ville pour continuer sa route vers Paris. Mais il venait d’apprendre une histoire que il n’était pas prêt d’oublié, ça lui rappelé une rumeur que il avait entendu au début de sa carrière, que il y avait un ex noble dans l’armée Républicaine. Bon, il allait voir a l’armée si il y avait pas quelqu’un du nom de Delmont d’Auxerre. Mais bon, il était pas sûr.

Il arriva à Paris le 28 novembre 1799, dans la capitale il y avait un froid de canard, le ciel était gris et il pleuvait souvent. Aimé est rentré dans l’appartement, son chien Noisette lui a sauté de dessus et quand Marie est arrivé, eh bien elle aussi lui a sauté dessus. Elle était tellement contente que il soit rentré, et lui il était tellement content de la revoir. Ils ont voulue passer un moment ensemble, loin de Paris, alors ils sont allé prêt de la Seine, a l’extérieur de la ville. Il c’était mis a neiger, Marie avait l’air tellement heureuse quand elle a vue la neige tombé, elle tourné en rond en rigolant sous la neige, pendant que Aimé la regardé sans vraiment savoir quoi faire. Il la trouvé vraiment belle, il voulait lui annoncé que il devait repartir en Italie, mais ça lui ferrait tellement de mal, et il s’en voudrait que la blessé. Pourtant, il devait bien le faire un jours, alors il s’est rapprocher d’elle.

-Marie…

Elle c’est arrêter et la regardé, toujours en souriant.

-Oui Aimé ?

-Je doit te dire…Je vais devoir repartir en Italie…

-Quoi… ? Marie a perdu son sourir a la seconde que Aimé a prononcer ces mots

-Je vais devoir repartir…Mais c’est Bonaparte qui va s’en occupé, ça ira vite !

-Toujours Bonaparte…

-Marie…

-Mais j’en ai marre de Bonaparte, Aimé ! Qu’est-ce qu’il s’est faire d’autre à part faire la guerre !? C’est quand que il va arrêter de faire la guerre !?

Aimé la regardé, il ne pouvait pas la répondre, elle avait raison, il pensait la même chose, alors il la pris dans ses bras.

-Tu va me manqué Aimé…tu me promet que tu vas m’envoyer des lettres ?

-Promis…comme toujours.

-Moi je te promet d’apprendre a lire, comme ça je pourrais moi-même lire tes lettres.

Ils se sont regardé avec un sourire, puis Marie a fait un baiser sur la joue d’Aimé. Le pauvre est devenu tout rouge et Marie a rigoler légèrement. Il commencer a faire trop froid, alors ils sont rentré chez eux, Aimé sentait toujours les lèvres de Marie sur sa joue. Il savait pas comment lui dire que il la trouvé ravissante, que a chaque fois que il la voyait, il la trouvé plus belle qu’avant.

A Paris, le 18 Brumaire était encore chaud, on crié encore des « Vive Bonaparte ! » c’était même plus la Révolution que ont acclamé, non, maintenant c’était tous pour le Bonaparte. Encore une Campagne d’Italie, encore repoussé les Autrichiens, et tous le monde espéré que après ça, ça sera enfin la Paix.